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Terminator 2 : Judgement Day

Dans le premier « Terminator », un cyborg indestructible T-800 et un humain débarquent de 2029 à Los Angeles en 1984 : le premier pour tuer Sarah Connor, mère du futur leader de la résistance à l’hégémonie des machines. Le second pour la protéger. Un enfant naîtra de leur courte idylle. Un robot-tueur nouvelle génération T-1000, arrive du futur en 1995 pour éliminer l’enfant âgé de 10 ans. Le bon vieux T-800 est reprogrammé du côté du bien ...

Synopsis

Présentation du film

l'Histoire

Dans le premier « Terminator », un cyborg indestructible T-800 et un humain débarquent de 2029 à Los Angeles en 1984 : le premier pour tuer Sarah Connor, mère du futur leader de la résistance à l’hégémonie des machines. Le second pour la protéger. Un enfant naîtra de leur courte idylle.

Dans « Terminator 2 », un robot-tueur nouvelle génération T-1000, arrive du futur en 1995 pour éliminer l’enfant âgé de 10 ans. Le bon vieux T-800 est reprogrammé du côté du bien : d’ange exterminateur, il devient alors ange gardien chargé d’assurer la survie du futur chef de la résistance humaine.

 

  • Info 1991, 137 minutes, Etats-Unis
  • Réalisation et scénario James Cameron et William Wisher
  • Photographie Adam Greenberg
  • Musique Brad Fiedel
  • Montage Conrad Buff, Mark Goldblatt et Richard A. Harris
  • Interprétation Arnold Schwarzenegger (Terminator T-800), Edward Furlong (John Connor), Linda Hamilton (Sarah Connor), Robert Patrick (Terminator T-1000)
  • Production James Cameron, Gale Anne Hund et Mario Kassar, pour Carolco Pictures

LE RÉALISATEUR

LE POINT DE VUE DE...

Premier blockbuster du genre, « Terminator » a changé l’histoire d’Hollywood. Entre courses poursuites et bruits de ferraille, le second volet de la série recèle un scénario brillant et une réflexion angoissante sur la nature humaine. D'une paranoïa visionnaire, Cameron invente en 1984 (!), un monde futuriste dominé par les ordinateurs. « Terminator 2 » humanise Schwarzie-le-Cyborg, transformé en figure paternelle de substitution. Les supplices et mutilations que son corps mécanique subit, lui confèrent une dimension quasi christique. La scène hallucinante de l’Apocalypse nucléaire et les éléments messianiques rattachent le film aux extravagants mélodrames-catastrophes de Cecil B. De Mille.

Emmanuel Tagnard
Emmanuel Tagnard Membre du comité cinéma

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